Le nouveau journal est arrivé, consultez le :
En exergue:
- L’assemblée générale du 18 mars
- Le plan localisé de quartier au coeur des débats
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Une indexation des valeurs locatives doit être effectuée à compter de la période fiscale 2013. Le taux d’indexation se détermine compte tenu de l’évolution de la moyenne des loyers de l’ensemble des logements à loyer libre, entre mai 2006 (base 100) et mai 2013. Sur la base des données fournies par l’Office cantonal de la statistique (OCSTAT), le taux d’indexation a été fixé à 111,1% pour les quatre années allant de 2013 à 2016, ce qui équivaut à une augmentation de la valeur locative de 7.03% par rapport à la situation actuelle.
La majorité des contribuables occupant leur bien immobilier ont reçu ou recevront une information de l’administration à ce sujet. Cette information indiquera notamment la nouvelle valeur locative à reporter dans la déclaration d’impôts 2013.
Pour rappel, la valeur locative représente un revenu en nature pour la jouissance de tout ou partie d’un immeuble. Elle correspond à la somme que le propriétaire devrait verser pour louer un bien de même nature ou encore au montant qu’il pourrait obtenir en louant son immeuble à un tiers. La valeur locative des immeubles occupés par leur propriétaire, prévue par les dispositions légales, est déterminée au moyen du questionnaire prévu à cet effet.
Ce questionnaire de même que le guide déterminant la valeur locative est disponible sur notre site sous Formulaires.
Le journal Pic-Vert de mars 2014 reviendra sur le sujet et notre permanence fiscale est à la disposition de nos membres pour toute information.
La CGI et les architectes nous promettent de vivre plus heureux en étant très serrés (les uns contre les autres) et les agriculteurs préfèrent construire des serres en verre ou en plastique afin de faire pousser des salades (au moins les salades ont des maisons; pour les Genevois… s’entasser dans de grands immeubles est suffisant de leur point de vue).
Résumé de la conférence de presse de Stop Surdensification donnée le 15 janvier 2014 à 10h30 2014
On rappellera donc simplement que :
1) Genève est la ville la plus dense de Suisse et la 2ème plus dense d’Europe.
Seul Paris intramuros (à l’intérieur du périphérique) est plus dense que Genève.
Dans le monde, les villes plus denses que Genève sont notamment Calcutta (Inde), Dehli (Inde), Karachi (Pakistan) et Manille (Philippines).
2) La nouvelle loi imposera des densités 2x plus importantes que ce qui ont été réalisées à Genève durant ces 20 dernières années.
Prenez la cité de Meyrin ou du Lignon et multipliez par deux le nombre d’immeuble sur le même terrain, voilà ce qui nous attend…
Les défenseurs de la densification disent qu’en densifiant on protège la zone villa, c’est un gros mensonge.
La zone villa est à ce jour condamnée par la majorité des politiciens genevois.
Dans le plan directeur 2030, 40% de la zone villa est appelée à être déclassée et à terme, c’est toute la zone villa qui devrait disparaître.
Seules les maisons de maître classées au patrimoine ou placées dans des zones protégées (proche d’une rivière ou du lac) ont une chance de subsister.
Donc Surdensification ou pas, les villas sont à l’heure actuelle de toute façon condamnées.
D’ailleurs la CGI (Chambre Genevoise Immobilière) a un conflit d’intérêt interne car elle défend à la fois les propriétaires de villa et les promoteurs immobiliers. Cela s’est notamment ressenti lorsqu’elle a accepté le Plan Directeur 2030 qui prévoit la suppression de 40% des villas à Genève d’ici 2030 et que tous ses représentants soutiennent les déclassements dans cette même zone villa.
Ce qui est vrai, par contre, est que si l’on conserve une croissance organique uniquement pour nos enfants (ce qui correspond à une croissance annuelle d’environ 1’500 personnes), 750 logements supplémentaires par année suffiraient. Ces logements pourraient être mis sur le marché avec les projets actuellement en cours sur le secteur Praille-Acacias-Vernets, ainsi que sur les déclassements déjà effectués dans le canton de Genève.
La réserve serait même suffisante pour durer jusqu’en 2030.
Découvrez le dernier numéro du journal Pic-Vert de décembre 2013.
Ne manquez pas de lire l’article Page 20 de Pic-Vert N°103. Des propriétaires gagnent face à l’Etat !
Bonne lecture et joyeuses fêtes à tous
Malgré ses discours sur le renouveau de l’urbanisme et la concertation dans les projets d’aménagement, M. Longchamp vient de faire approuver par le Conseil d’Etat quatre PLQs dans le quartier des Semailles, qui prévoient des barres d’immeubles et qui ont été réalisés sans concertation aucune avec les habitants.
Pourtant, les habitants du quartier des Semailles ont élaboré un projet alternatif d’urbanisme pour ce secteur, qui permet de construire 560 logements au lieu de 490, plus rapidement, et surtout en proposant un urbanisme plus humain et convivial. Ce projet alternatif a été soutenu par plus de 2’000 personnes qui ont signé la pétition « Marre des barres – Réinventons la Ville ! », lancée par les habitants.
Contrairement à ce qu’affirme le Conseil d’Etat dans son Communiqué de Presse, le Conseil municipal n’a pas fait silence sur ce projet, mais a adopté une résolution demandant à l’Etat d’étudier le projet des habitants. Or, l’Etat a refusé de donner suite à cette résolution.
Il est également faux de prétendre que le projet des habitants n’aurait pas permis de respecter les engagements pris à l’égard des autorités communales dans le plan directeur de quartier, puisque le projet des habitants a été présenté en septembre 2012, alors que le plan directeur de quartier n’a été adopté par le Conseil d’Etat que le 27 mai 2013.
L’Association Les Passereaux qui représente les habitants de ce secteur attend toujours que M. Longchamp soit cohérent et applique dans les faits ses promesses politiques. Marre des barres, aussi aux Semailles !